15 RAISONS D’ALLER VISITER ISTANBUL DEMAIN

Je garde un excellent souvenir de ma première expérience sur le sol turc dans cette ville. Celle qui fut autrefois la grande Constantinople ou l’inégalable Byzance conserve un charme fou et des vestiges historiques hors du commun. Du coup, j’ai décidé de vous le faire partager ! Voici un petit tour d’horizon des 15 raisons de retourner visiter Istanbul demain et les yeux fermés, selon moi.

 

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Les monuments splendides

Commençons par le plus évident. Comme je le disais, visiter Istanbul, c’est un peu comme plonger dans un passé historique sans commune mesure. Alors sans refaire de cours d’histoire, c’est juste un régal de visiter une ville qui regroupe le palais Tok Kapi, la basilique Sainte-Sophie et la mosquée bleue, sans oublier les citernes de la ville.

 

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La basilique Sainte-Sophie

Je la revisite demain si je peux ! Entre le fait d’admirer les Christs Pantocrator en mosaïque dorée, les lustres immenses, les boucliers reprenant des versets du Coran, les détails infinis qu’offre l’architecture, son jardin reposant, j’y cours et j’y passe la journée !

 

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Le Bosphore

J’ai toujours aimé les villes où il y a de l’eau. Cela donne toujours beaucoup de vie, un charme inexplicable. Le Bosphore n’est pas en reste puisqu’il traverse la ville de part en part et la divise en 3 parties : l’ancienne ville, la nouvelle ville et la côte orientale. Le port, pour prendre les bateaux taxis, regorge de petits bateaux restaurants. Et si c’est votre jour de chance, vous pourrez même peut-être voir des dauphins lors d’une balade en bateau.

 

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Photo credit: Tal Bright

La vieille ville

C’est la partie la plus traditionnelle d’Istanbul. Peut-être aussi parce qu’elle est devenue le bastion des touristes en mal d’exotisme. Mais bon, les mosquées grandioses, les femmes voilées, les restaurants aux mets fumants sur le bord du trottoir… Rien  à faire, le charme opère !

 

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La ville moderne

En traversant le pont Galata au-dessus du Bosphore, on rejoint la ville moderne et son lot d’occidentalisme. Si une petite envie de shopping se fait sentir, ou même si vous voulez simplement reconnecter avec des quartiers plus tendance et plus branchés, c’est ici !

 

visiter IstanbulPhoto credit: Eloquent Light

Le quartier Cankurtaran, derrière la basilique Sainte-Sophie

Alors, c’est MON bastion à moi (enfin, et celui de 100 000 autres jeunes Stambouliotes pour le coup…). Mais bon, comment ne pas craquer devant cet ancien quartier gitan à deux pas de la basilique Sainte-Sophie, et où s’imbriquent dans le charme le plus parfait, restaurants aux milles bougies, bars à chicha et cafés branchés. Je vous conseille 1000 fois le Palatium, un café restaurant dont le sol est en verre, et qui donne sur les ruines de l’ancien palais byzantin de Magnaura. Avec un peu de chance, le patron vous laissera faire un tour dans le sous-sol. Moi, j’ai eu cette chance !

 

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Le charme des 1 001 nuits

Bon là, cela touche ma corde sensible de fan de Aladin et des ambiances à la Ali Baba. Istanbul, c’est la plus européenne des villes orientales et la plus plus orientale des villes européennes. Alors tout est dit, vous y serez toujours dépaysé. Femmes voilées, petites rues tarabiscotées, nourriture colorée sur des étalages surchargés, cries, bras ouverts et des Merhaba qui fusent, chant du muezzin au lever du jour… C’est bon, on y est.

 

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On mange trop bien !!!

Pfou, impossible de citer les milliers de possibilités de se péter le bide à Istanbul, et en Turquie plus généralement. Mes préférences vont aux keftas, gözlemes et pizzas turques, pour ne citer que ça.

 

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Le thé à la pomme

Roh, le thé à la pomme !! Mon must lors de ma visite à Istanbul ! J’ai commencé à boire du thé grâce au thé à la pomme d’Istanbul. Je pense que personne ne le prépare mieux qu’eux. Surtout, ne vous focalisez pas sur les 12 morceaux de sucre pour un verre de thé. Juste, appréciez, c’est une tuerie.

 

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Les bars à chicha

N’étant pas fumeuse, j’ai bien failli m’étouffer le jour où j’ai testé ma première chicha. Mais je suis quand même devenue une inconditionnelle du genre… pour les coussins ! Ils font ça bien les Stambouliotes : des petites terrasses en renfoncement de la rue, des tapis partout, des gros coussins, une table basse en bois et des bougies innombrables. Comme à la maison, quoi !

 

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Les marchés

Si, comme moi, vous aimez les ambiances de marché, vous allez être servis. Fan inconditionnelle du souk, j’ai adoré chiner (enfin ça, c’est se qu’on croit) au Grand Bazaar, l’un des plus grands souks d’Europe. On s’y perd !!! Et si vous préférez les ambiances plus culinaires, il faut aller au marché aux épices. C’est bondé, ça crie dans tous les sens, ça se salue, ça papote, ça marchande. J’A-DO-RE !

 

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On peut manger de la street food

Bon, vous l’aurez compris, je suis une adepte du genre (et j’ai déjà fait la pub de la street food dans Pourquoi il faut manger de la street food en Asie). Mais j’aime tellement le concept de pouvoir manger sur le pouce dans la rue quand on voyage. C’est pratique, rapide, économique, et souvent succulent. Franchement, pourquoi se priver ? Et là, on a que l’embarras du choix : pains bagels, mais grillés, moules au citron, keftas, glaces artisanales. Le menu complet est dans la rue !

 

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Les derviches tourneurs

Je suis complètement tombée amoureuse de cette danse traditionnelle perpétrée par les membres de l’ordre Mevlevi. Bon, il est possible que certains entretiennent le folklore pour les touristes, mais il n’empêche que c’est fascinant. Ces hommes tournent en rond sur eux-mêmes pendant des minutes entières (essayez de faire ça chez vous, mais mettez des protections et un casque !). La paume de la main droite ouverte vers le ciel et en état de transe pour tenir le rythme, ils recueillent la grâce d’Allah. Hypnotique !

 

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Les Stambouliotes sont cool

Rendons à César ce qui est à César. La ville est top, et ses habitants aussi. On papote avec le serveur au restaurant, on marchande au bazaar tout en faisant connaissance, on discute de la famille autour d’un épi de maïs grillé. On se marre bien, quoi.

 

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Visiter Istanbul, c’est accessible !

Allez, dernier argument pour le fun. Une semaine à visiter Istanbul m’a coûté environ 600 € en tenant compte de l’avion, d’un hébergement standard (standard européen on s’entend, donc très bien quoi !) et des frais de visites et de nourriture (principalement des restaurants). Ce qui veut dire que si vous voulez la faire en mode auberge de jeunesse et street food, ce sera encore plus intéressant !

Alors, quelles sont vos impressions les loulous??? Avez-vous déjà eu l’occasion de visiter Istanbul ? Cela vous donne-t-il envie d’y aller ?

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Nastasya Kotnarovsky
Nastasya Kotnarovskyhttps://www.valizstoriz.com
Fondatrice du blog, Nastasya fait partie de ces personnes qui ont les pieds sur terre, mais surtout la tête dans les étoiles. Après un début de carrière en marketing, elle décide de tout plaquer pour commencer une vie trépidante, faite de voyages et de rêves qui deviennent réalité. Parce qu'on n'a qu'une vie !

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